IDGéo prend la relève de Services Géographiques

11 11 2013

Durant l’année 2013, l’association Services Géographiques a déposé le bilan. Cette association, partenaire,  proposait des formations continues dans le domaine des techniques géographiques. Cette association faisait suite à l’EPTEGE. Le monde de la géomatique perdait donc un excellent centre de formation unique en France. Heureusement, l’équipe de salariés a su relever ses manches et relever le défi de créer un nouveau centre de formation.

IDGéo
IDGéo est une SCOP créée en septembre 2013 par une équipe complémentaire et compétente: Sylvie Bernier, Rose Gallofré, Jean-François Behm et Renaud Lahaye. IDGéo est un centre de formation professionnelle spécialisé dans le secteur des technologies spatiales et plus particulièrement de la géomatique et de la télédétection.

logo IDGeo

Partenariat 
Nos activités étant complémentaires, IDGéo est aujourd’hui notre partenaire. ^-^

Coordonnées
42, avenue du Général de Croutte, 31100 Toulouse
0561.409.601

mails:





La 7ème mêlée géomatique à Auch le 14 Novembre 2013

10 11 2013

Comme chaque année, voici la mêlée géomatique à Auch!!!
Inscrivez-vous à la 7ème Mêlée Géomatique et participez au rendez-vous incontournable des acteurs de la géomatique en région Midi-Pyrénées !

Auch – le jeudi 14 novembre 2013

Thématique 2013 : «Géomatique et communication mobile, enjeu crucial pour le développement des territoires ruraux»

Avec le déploiement croissant du très haut débit et de la 4G mobile, les territoires ruraux disposent de moyens de télécommunications pour le développement économique, culturel et patrimonial.
Les participants pourront également découvrir les applications mobiles en cours de développement grâce aux travaux du CRIGEOS (Centre Régional d’Information GEOSpatiale de Midi Pyrénées).

Programme et inscription :
http://www.melee-geomatique.com




Nouveau partenaire ^-^

7 08 2013

Nous sommes fiers de vous annoncer que nous avons un nouveau partenaire: le Proyecto MonoTocon

El proyecto Mono Tocon

C’est une NGO (site internet) péruvienne créée en 2009 qui a pour but la conservation de la biodiversité du Pérou. Les bureaux sont à Moyobamba, une ville de la région de San Martin, Pérou. L’association est organisée en 3 départements: conservation, éducation et recherche. L’équipe travaille notamment pour la conservation du singe Callicebus oenanthe et son habitat.

source Proyecto Mono Tocon

Source Proyecto Mono Tocon

Contexte

Morgane Angéniol (présidente de Map’Monde) a passé un peu plus de 3 semaines dans leurs locaux. Le but était de connaître l’association, l’équipe et les méthodes de travail utilisées. Elle a participé à plusieurs activités comme la triangulation afin de récolter des données sur la répartition du singe dans la zone du Morro de Calzada et la densité de la forêt.

Mesure de la densité de la forêt

Mesure de la densité de la forêt

Partenariat

Le temps passé avec l’équipe a permis de déterminer dans quelle mesure, un partenariat entre les 2 associations était possible. Le Proyecto Mono Tocon utilise l’information géographique, entre autres, pour étudier les singes: création de cartes préliminaires aux sorties, études de répartition, études de l’occupation  du sol…

Julio C. Tello Alvarado (responsable du département recherche) et Morgane Angéniol (présidente de Map'Monde)

Julio C. Tello Alvarado (responsable du département recherche) et Morgane Angéniol (présidente de Map’Monde)

Ensemble, nous travaillerons sur l’interprétation d’images satellites sur la région de San Martin.

Conclusion

Toute l’équipe du poyecto MonoTocon a accueilli Morgane à bras ouvert et l’a intégré dans ses activités. Elle lui a montré son environnement et sa culture. Le temps passé avec elle a été très enrichissant d’un point de vue professionnel mais aussi personnel! Cette collaboration a de beaux jours devant soi car ce sont des personnes enthousiastes, dynamiques ayant une forte implication dans leur travail.

Merci au Proyecto Mono Tocon!

Morgane avec une partie de l'équipe du Proyecto Mono Tocon

Morgane avec une partie de l’équipe du Proyecto Mono Tocon





Le monde si le nombre d’habitants est proportionnel à la superficie du pays

12 01 2013

Voici une nouvelle carte du monde: chaque population est placée dans un pays selon le principe le plus grand pays à la plus grande population.

Dans ce cas, la France se retrouve au Pérou 🙂

carte du monde taille pays/population





Cartographie des résultats de Chocolatine ou Pain au chocolat ?

2 11 2012

Article rédigé par AdrienVH, le 16/10/2012

Retrouver l’article original en suivant ce lien : article

Chocolatine ou Pain au chocolat ? est un projet qui tenait à cœur à Romain Ménard, son concepteur, depuis déjà pas mal de temps. L’envie de créer ce petit site est venue de débats passionnés qui ont eu lieu dans son entourage. Notre ville de Poitiers est, en effet, à la frontière géographique et lexicale entre la chocolatine du sud et le pain au chocolat du nord. C’est finalement pour rebondir sur la polémique toute récente, liée aux propos de Mr Copé au sujet du Ramadan, que Romain a décidé de finaliser son site et de le lancer sur la toile. Sur le site, on vous demande de voter pour l’un ou l’autre terme, en précisant la ville dont vous venez. En quelques jours, le site a déjà collecté près de 20 000 votes !
En géographe averti, j’ai tout de suite vu l’aspect « Analyse Spatiale » de la question posée (effets de distance, d’appartenance, tout ça, tout ça,…). J’ai donc proposé à Romain de réaliser un rendu cartographique de ces votes. Dans ce billet, vous trouverez tout le processus technique d’exploitation des données, du fichier SQL à la carte finalisée…

 

Résultat cartographique et dataviz’

 

résultat de l’étude

Analyse de ces résultats

Sans faire une thèse sur les résultats obtenus, il y a quelques observations pertinentes à faire.

Comme pour les résultats simplement statistiques, le triomphe du pain au chocolat est aussi géographique. En effet, il domine les débats dans le nord et le sud-est de la France. Les statistiques montrent une domination moins importante (62% – 38%), mais on peut expliquer cela par le fait qu’un clan ait été plus mobilisé que l’autre. Dans le cas de la chocolatine, il y a une question identitaire derrière le terme, ce qui est moins le cas du pain au chocolat (terme plus générique). C’est ce qui explique la résistance de la chocolatine dans les statistiques, nuancée par la sombre vérité du terrain. Une façon de corriger ces biais aurait pu être pondérer les votes par le poids démographique des communes, mais cela aurait amené d’autres biais.

On peut aussi remarquer l’existence de zones de conflits entre les deux termes. Ces zones « tampon » sont bien évidemment situées entre les deux zones chaudes, sur le front de la bataille. Parmi ces départements conflictuels, indécis, on retrouve notre département de la Vienne (86), comme Romain l’avait senti, suite aux débats passionnés dans son entourage. On peut aussi noter des poussées inattendues du pain au chocolat et de la chocolatine, dans des départements ou zones clairement adverses.

Enfin, même dans les zones les moins consensuelles, on peut observer des sortes de diasporas, et ce des deux côtés. On peut aussi expliquer ce phénomène par l’aspect identitaire des termes, mais il y a aussi une question de biais statistique puisque sur plus de 36 000 communes françaises, seules 2415 différentes sont représentées dans les votes des internautes. C’est ce qui à tendance à donner beaucoup de poids aux villes et à ne pas lisser les résultats dans l’espace.

Bonus [18/10/2012 20h15] : Pour alimenter les discussions, voici un graphique qui représente l’usage d’un terme et de l’autre dans les livres numérisés par Google Books. On voit clairement qu’au début du XXème siécle, le terme « chocolatine » était majoritaire… Qui est vraiment la poule ? Et qui est l’œuf ? Enfin, moi, je dis ça, je dis rien !

 

Nettoyage et import du fichier SQL dans la base de données PostgreSQL

Le 15 octobre au matin, Romain m’a envoyé un fichier SQL comprenant les 18 636 votes collectés par son site jusque là. Comme souvent, l’exécution directe du fichier SQL dans PgAdmin III n’a pas fonctionné du premier coup. C’est surtout la création de la structure de la table qui a posé problème. Pour ne pas perdre trop de temps, j’ai créé cette unique et simple table manuellement. Après encore un peu de nettoyage (suppression des lignes qui posaient initialement problème et nettoyage des apostrophes sur les lignes INSERT INTO), le fichier SQL était prêt pour être exécuté dans pgAdmin :

INSERT INTO copc (id, ip, choice, city, date) VALUES

(1, ‘xx.xx.xxx.xxx’, 2, ‘41100’, 1349532447),

(2, ‘xx.xx.xxx.xxx’, 1, ‘86000’, 1349532421),

(3, ‘xx.xx.xxx.xxx’, 1, ‘33500’, 1349532415),

(4, ‘xx.xx.xxx.xxx’, 2, ‘14000’, 1349532404),

Le temps d’exécution de cette requête SQL est très court, malgré un nombre d’enregistrements assez conséquent (18 636).

 

Export de la table dans un fichier CSV, grâce à ogr2ogr

Pour la suite des événements (faites-moi confiance…), on va devoir utiliser des formats plus classiques, notamment du tableur. Pour arriver à un format comme celui là, on va utiliser l’outil ogr2ogr pour exporter la table en un fichier CSV, à l’aide de la ligne de commande suivante :

ogr2ogr -f « CSV » D:\dropbox\…\copc\csv\ PG: »host=localhost port=xxxx dbname=xxxxxxxx user=xxxxxxxx password=xxxxxxxx » « copc »

Là encore, l’exécution de cette unique ligne de commande est assez rapide.

Enfin, avant de pouvoir passer au géocodage de vos données, il vous faudra (parfois) faire encore un peu de nettoyage : séparateur décimal, colonnes obligatoires pour le géocodage (même vides), etc.

 

Géocodage des données du fichier XLS

L’opération de géocodage est essentielle ici, puisqu’il s’agit de la transformation d’une adresse postale en coordonnées géographiques (on déduit de l’adresse postale une localisation précise). Ici, nous n’avons que le code postal à notre disposition mais cela suffit car le rendu final se fera de toute façon à petite échelle. Cela compensera bien ce manque de précision.

Plusieurs sites internet vous proposent de procéder à ce géocodage pour vous, mais la plupart vous propose de le faire gratuitement jusqu’à un certain nombre d’adresses. Après, c’est payant. Le seul site qui offre une large marge de manœuvre, c’est celui que j’utilisais déjà à l’époque de la fac (http://www.batchgeocodeur.mapjmz.com/). Il permet notamment de géocoder jusqu’à 10 000 adresses en une seule fois. Seul soucis : c’est assez lent (environ une adresse toutes les 1,5 secondes, soit plusieurs heures pour 10 000 adresses). En import, comme en export, vous pourrez copier/coller depuis et vers Excel (la tabulation est utilisée comme séparateur).

Au final, les 18 636 codes postaux collectés ont tous été géolocalisés avec un degré de précision largement suffisant (> 4). En fait, seuls cinq codes postaux ont du être passés au géocodage une seconde fois, car le premier passage avait retourné une erreur serveur (500).

 

Création de la couche SIG et interpolation raster (IDW)

Avant de commencer cette étape, j’ai téléchargé, sur le site de l’IGN, un jeu de données sur les départements et les communes de France, disponible sous Licence Ouverte (GéoFLA). Je vais m’en servir pour des représentations cartographiques, mais aussi pour découper le raster créé. Quoi qu’il en soit, maintenant que nous avons un tableur propre avec nos coordonnées géographiques et nos votes, il ne reste plus qu’à créer une couche SIG (en Lambert 93) à partir de votre tableur. Je vous laisse faire cette opération avec votre logiciel SIG favori. Moi, je l’ai fait avec QGis.

Maintenant, on va s’attaquer à quelque chose de moins classique : l’interpolation. L’idée derrière cette opération, c’est d’utiliser la couche des points créée et des formules mathématiques (basées notamment sur la distance entre deux points) pour « interpoler » l’espace, notamment celui où il n’y a pas de point du tout. L’objectif c’est d’avoir une représentation continue dans l’espace d’un phénomène localisé. Plusieurs techniques d’interpolation existent, mais la plus adaptée, dans notre cas, c’est celle dite IDW (Inverse Distance Weighting). Cela se fait aussi avec QGis sans aucun soucis. Pour ma part, j’avais du temps et l’envie d’avoir un raster assez fin, alors j’ai demandé à ce que les pixels du raster fassent 1 kilomètre de côté. C’est pourquoi mon interpolation a pris plus d’une heure (ce qui n’est rien comparé à l’étape de géocodage) !

 

Découpage du raster obtenu par l’emprise d’une couche SIG

Une fois le raster créé par QGis et « stylé » par vos soins, vous pouvez le découper, soit en indiquant un rectangle d’emprise (bounding box), soit en désignant une « couche de masquage » (déjà ouverte ou non dans QGis). Dans les deux cas de figure, l’outil « Découper » de QGis génère en fait une ligne de commande qui sera ensuite interprétée par la librairie GDAL (celle souvent livrée avec ogr2ogr). Pour votre information, dans le cas d’un découpage par couche de masquage (notre cas ici), la ligne de commande produite par l’outil contient systématiquement une erreur : vous devrez remplacer « -crop_to_cutline » par « -r cubic » (après avoir cliqué sur le petit crayon jaune).





La 6ème mêlée géomatique à Auch le 22 Novembre 2012

29 10 2012

Comme chaque année, voici la mêlée géomatique à Auch!!!
Inscrivez-vous à la 6ème Mêlée Géomatique et participez au rendez-vous incontournable des acteurs de la géomatique en région Midi-Pyrénées !

Auch – le jeudi 22 novembre 2012

Thématique 2012 : « l’information géographique une passerelle indispensable pour l’OPEN DATA »

La libération des données publiques connaît aujourd’hui un regain d’intérêt grâce au développement de l’OPEN DATA. Or, dans le secteur de l’information géographique, des pratiques de mutualisation et de diffusion des données géographiques existent en France depuis une vingtaine d’années…

Programme et inscription :
http://www.melee-geomatique.com




Cartopartie de la commune de Condom

17 09 2012

Le 09 juin 2012, Map’Monde a organisé une cartopartie dédiée au patrimoine de la commune de Condom dans le Gers. Ces données vont notamment servir à l’enrichissement du contenu des cartes touristiques de la communauté de communes de Ténarèze.

  •     Qu’est-ce qu’une cartopartie?

Une cartopartie est un rassemblement de bénévoles ou de professionnels ayant pour but de combler un manque d’informations spatiales géoréférencées. Les participants vont effectuer des relevés à l’aide de différents terminaux (Appareils GPS, Smartphones, tablettes tactiles etc.) utilisant la technologie GPS ou GLONASS (équivalent russe du GPS). Ces relevés relèvent généralement d’un thème apparaissant cohérent pour la communauté ou les collectivités. C’est le cas par exemple pour un recensement des places de parking pour les personnes à mobilité réduite, l’emplacement des toilettes publiques d’une ville, etc.

C’est dans cet esprit que Map’Monde à décider de faire une cartopartie.

  •     Quel matériel est utilisé?

Pour les relevés nous avons utilisés 2 types d’appareil :

1. Le GPS (Global Positioning Sytem) ou système de localisation mondial. C’est aujourd’hui un terme de tous les jours qui désigne un appareil permettant de connaître sa position, exprimée (le plus souvent) en longitude / latitude. Le calcul de la position part du principe de la triangulation, donc détermination d’un X, d’un Y et d’un Z à partir de la position relative à au minimum 3 satellites. Ces appareils proposent, selon la gamme et l’utilisation, diverses caractéristiques.

Le GPS que nous avons utilisé est de la marque Magellan et dispose d’un écran tactile couleur permettant d’afficher des cartes, et d’enregistrer points et tracés, qui peuvent être renseignés par du texte. Après l’enregistrement d’une carte OpenStreetMap  (ou OSM) dans la mémoire de l’appareil, nous avons pu localiser avec une grande précision la localisation des bâtiments d’intérêt que nous souhaitions positionner.

2. Le Smartphone équipé d’un GPS type HTC Wildfire ou Samsung Galaxy avec l’application libre  OruxMap.

Pour l’acquisition et l’exploitation des données nous avons utilisé plusieurs logiciels :

1. Orux Maps qui est un logiciel gratuit pour terminaux Android qui permet la consultation en ligne / hors ligne de cartes. Il permet également de créer des points et des tracés avec informations attachées (idéal pour ensuite renseigner les données dans OSM).

2. Quantum GIS: c’est est un système d’information géographique libre qui permet l’ouverture de fichiers vecteurs ou rasters ayant une composante géographique. Qgis est actuellement à sa version 1.8 .

Il nous a permis d’importer les fichiers extrait du GPS et du logiciel Orux Maps pour ensuite afficher les points et informations que nous avons récolté.

3. JOSM : éditeur pour OSM écrit en ​Java 1.6. Actuellement, il est capable de charger des traces GPX indépendantes et des traces GPX de la base de données d’OSM. Il permet aussi de charger et éditer les nœuds, chemins, attributs de méta-données et relations de la base de données d’OSM.

  •      Que deviennent les données relevées?

Les données brutes relevées sont données sur support numérique à la communauté de communes de Ténarèze pour qu’elle puisse les utiliser librement.

Parallèlement, les données vont être utilisées pour enrichir le contenu d’OSM : précision des données, apport de photos, création de bâtiments…Elles sont donc maintenant visibles ici.

  •      OpenStreetMap (OSM), c’est quoi?

OSM est un projet ayant pour but de réaliser une base de données géographiques mondiale, sous licence libre même pour l’utilisation commerciale, à partir de participation bénévole. Il est né en Angleterre en 2004 et connait un succès de plus en plus grandissant, notamment grâce à la démocratisation des GPS / Services gratuits de localisation et de la participation collaborative sur internet.

OSM propose donc des données de diverses nature (chemin, routes, lieux, emplacements d’intérêt, occupation du sol, hauteurs de bâtis, etc.) consultables sur internet, téléchargeables et utilisables sans restriction. Ces données sont alimentées par les utilisateurs enregistrés sur OpenStreetMap, qui, une fois les données terrain récoltées, viennent les renseigner sur internet.

Lors de cet événement, nous avons relevé une trentaine de points.

Nous remercions tous les bénévoles présents ce jour là pour nous aider!

benevole releve

Bénévoles en train de relever des points d’intérêt





L’Information Géographique au service de l’Environnement – 19 juin – Paris

5 06 2012

Esri France présente  la journée SIG & Environnement 2012

Plus d »informations et inscription en suivant ce lien esri

Esri France organisera le 19 juin à Paris pour la troisième année consécutive une journée dédiée à « l’Information Géographique au service de l’Environnement».Cette journée s’appuiera majoritairement sur des témoignages d’utilisateurs et la présentation de cas concrets. Plusieurs moments lors de cette journée seront consacrés aux échanges entre les participants.L’Information Géographique (et par extension la cartographie) représente une dimension capitale pour résoudre les problématiques environnementales qui se posent aujourd’hui dans une multitude de secteurs.

Elle est au cœur de nombreuses applications essentielles et stratégiques pour tous les acteurs du domaine de l’Environnement et apporte une dimension capitale dans le suivi et le pilotage de nombreux projets.

C’est pour vous permettre d’échanger sur les nombreux aspects liés à l’utilisation de l’Information Géographique et des Systèmes qui y font référence (les SIG) que nous organisons cette journée entièrement consacrée à cette approche et qui concerne plus particulièrement :

  • Les Collectivités Territoriales
  • Les bureaux d’étude Environnement
  • Les CAUE
  • Les observatoires
  • Les Parcs Naturels
  • Les Syndicats (Eau, électricité…)
  • Et d’une façon plus générale toutes entreprises et organisation concernées par une meilleure approche Environnementale en liaison avec la dimension Géographique.
Les témoignages qui auront lieu lors de cette journée :

  • Une nouvelle chaîne de production du référentiel géographique forestier utilisant ArcGIS Engine
    Jean-Philippe LEFEBVRE – IGN
  • Utiliser des SIG pour l’étude de la nappe de Beauce
    Marie-José Broussaud -Françoise Morel-Deville – Institut Français pour l’Education/ENS-Lyon
  • Quelques exemples d’utilisation d’ArcView au service de la qualité de l’air
    Mélanie Le Jan – Air Normand
  • Développement d’utilitaires couplés SIG/BDD pour la description statistique et l’identification des tendances d’évolution des données sur l’eau souterraine
    Benjamin Lopez – BRGM
  • ARIA City, Progiciel d’études de la dispersion atmosphérique en 3D développé sous ArcGIS pour la Ville de Paris
    Mélanie TROPÉ – Ville de Paris
  • De l’itinéraire au pratiquant via le numérique
    Laure Sagaert – Rémi Thoret – FFRandonnée
  • D’autres témoignages à venir




Forums SIG 2012 – ESRI

13 02 2012

C’est parti pour la tournée française d’ESRI : 9 villes au programme

  • Nancy, le 22 mars
  • Toulouse, le 3 avril
  • Nantes, le 5 avril
  • Lille, le 17 avril
  • Rennes, le 26 avril
  • Bordeaux, le 22 mai
  • Paris, le 24 mai
  • Lyon, le 29 mai
  • Aix-en-Provence, le 31 mai

« L’Information Géographique au coeur de votre activité

Nous vous invitons à venir participer aux Forums SIG 2012, une occasion privilégiée pour découvrir et faire le point sur les récentes innovations liées aux usages de la dimension géographique. Nous attachons depuis de nombreuses année une grande importance à la proximité avec nos utilisateurs. C’est pourquoi, avec nos partenaires, nous avons conçu ces journées afin que vous puissiez obtenir en un même lieu et sur une même journée les réponses à vos questions.  »

 

Plus d’information en suivant ce lien :

http://www.esrifrance.fr/forums2012.aspx